Du 24 février 2015 au 24 mai 2015

Exposition temporaire

Les Bas-fonds du Baroque

la Rome du vice et de la misère

#BasfondsBaroque

En raison de l'affluence dans l'exposition Le Paris de la modernité et Théodore Rousseau la réservation en ligne est conseillée, y compris pour les bénéficiaires de la gratuité. Seule la présentation d'un billet horodaté garantit l'entrée dans les expositions.

Avenue Winston Churchill
75008 Paris

Gratuit : - 18 ans

De nombreuses expositions ont mis en scène la Rome fastueuse de l'âge baroque,tout au service du pouvoir triomphal des Papes. Mais la fresque se doit d’être plus complexe.

L’ambition de cette exposition est de montrer, pour la première fois, l’envers du décor de cette Rome splendide du premier XVIIe siècle : non plus la Rome du Beau idéal , mais celle d’après nature. Car cette autre Rome, la Rome grossière et commune, celle des vices, de la misère et des excès fut à l’origine d’une production artistique inédite et stupéfiante, tant par sa diversité que par ses paradoxes et ses inventions.
L’exposition présente 70 tableaux majeurs peints à Rome par des artistes italiens, français, hollandais, flamands, allemands et espagnols, de Simon Vouet à Claude Lorrain, de Bartolomeo Manfredi à Valentin de Boulogne et Jusepe de Ribera. Elle rassemble des prêts des plus grands musées internationaux, servis par une scénographie spectaculaire : un monde de musiciens, de buveurs et de tricheurs, de courtisanes et de diseuses de bonne aventure...

Commissaires:
Francesca Cappelletti, professeur à l’université de Ferrare
Annick Lemoine, chargée de mission pour l’histoire de l’art à l’Académie de France à Rome - Villa Médicis, maître de conférences à l'université Rennes 2
Christophe Leribault, directeur du Petit Palais

Exposition conçue et organisée en collaboration par l’Académie de France à Rome – Villa Médicis et le Petit Palais.

 

Publications

Les Bas-fonds du baroque. La Rome du vice et de la misère

Cette exposition a pour objet de révéler, pour la première fois, l'envers du décor de la Rome fastueuse du premier XVIIe siècle : non plus la Rome de la papauté triomphante, mais celle du quotidien, non plus la Rome de la bienséance, mais celle de l'inconvenance, non plus la Rome du « Beau...

Voir la fiche